Rh(e)inFilm – Projections dans le Rhin supérieur

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Le projet de recherche « Projections dans le Rhin supérieur », financé pour 3 ans (2013-2015) par l’Offensive Sciences de la RMT (Interreg IV), associe des chercheurs français et allemands enseignant à l’université en histoire, histoire du cinéma et histoire des sciences. À Strasbourg, il est coordonné par Christian Bonah (Faculté de Médecine) et Alexandre Sumpf (Faculté des Sciences historiques) ; à Heidelberg, par Wolfgang Eckart et Philipp Osten (Medizinische Fakultät Universität Heidelberg).

Le projet se donne pour objectif de proposer un regard croisé franco-allemand sur le cinéma de non-fiction produit, tourné ou projeté en Alsace ou au Bade-Wurtemberg au xxe siècle. Il s’agit d’étudier aussi bien les films d’entreprise que les bandes publicitaires ou les films pédagogiques, les productions institutionnelles comme les bobines amateur. Nous ambitionnons de mettre en lumière les enjeux économiques, sociaux, culturels et mémoriels de ces films dits « utilitaires », qui représentaient une expérience cinématographique singulière pour les spectateurs contemporains de leur production.

Nous expliquerons ici les principaux objectifs du projet et en dresserons un bilan succinct, au terme de 9 mois de travail, en détaillant quelques cas. Après avoir exposé trois définitions préalables du film de non-fiction, et en avoir tiré les leçons d’un point de vue méthodologique, nous aborderons les deux principaux axes de notre recherche. D’une part, notre équipe transnationale, aidée de nos nombreux partenaires institutionnels, se donne pour tâche d’exhumer une masse très significative d’images filmiques, de les inventorier et d’en dévoiler les processus de production. D’autre part, par l’intermédiaire de cycles de projections-débats et de divers types de discussion scientifique, nous entendons comprendre un peu mieux les procédés de diffusion et les terrains de réception de ces images.

Film utilitaire, éphémère, inédit : définitions et approches

Qu’est-ce que le film utilitaire ? Il s’agit de films dont l’objectif premier n’est pas d’être projetés pour être simplement consommés. Leur utilité vise un objectif différent, distinct de l’exploitation dans le cadre d’une salle de cinéma. Les films utilitaires ne s’adressent pas au plaisir cinématographique du public, mais se voient mobilisés pour la réclame, l’enseignement ou l’information. L’origine première des films utilitaires se trouve dans l’industrie. Ils représentent à l’écran un procédé de fabrication et servent parfois à la formation des personnels. Pour les années initiales du cinéma, la distinction entre divertissement et film utilitaire reste toutefois difficile à établir. La fascination pour l’image animée était telle que tout motif, pour peu qu’il fût animé, était reçu avec ferveur par le public. Pendant la Première Guerre mondiale, le film se mue en outil de communication militaire et patriotique et les productions tendent à se spécialiser. À partir des années 1920, on réserve des films aux expositions et aux foires économiques, on en produit pour l’enseignement, sur commande des administrations et d’institutions. Le film utilitaire s’insère dans les structures médiatiques de son temps. Avec l’inflation des expositions entre 1921 et 1923, ces films s’établissent comme des sources nouvelles d’information. Des expositions itinérantes touchent avec des moyens simples un grand nombre de personnes, à qui l’on propose souvent comme attraction une projection cinématographique. L’espace de diffusion se trouve donc à la fois restreint à de petites communautés qui reçoivent les films utilitaires, et unifié par la propagation – notion comprise ici comme transfert de connaissances et comme déplacement vers un autre territoire de réception que celui de la salle commerciale.

Le film éphémère désigne une partie des films utilitaires, ceux qui remplissent leur fonction pour une durée limitée avant de perdre leur valeur : typiquement, le film de réclame fait partie de cette catégorie. Les actualités cinématographiques, qui annoncent des événements ou informent sur l’actualité, sont également marquées par leur durée de vie. Les actualités cinématographiques circulaient souvent d’une salle de cinéma à une autre et le nombre de leurs copies était souvent faible. Leur arrivée dans des localités reculées pouvait prendre plusieurs mois, et il n’était pas rare qu’en attendant, on répète la projection, avec d’infimes variations de montage – sans forcément satisfaire le goût du public pour la nouveauté. Dans les années 1930, la régulation centralisée restreint les variantes, accélère le rythme de parution des actualités animées, à mesure qu’elles deviennent de plus en plus éphémères.

Ces films de non-fiction peuvent également être qualifiés d’inédits. Films de famille, films d’entreprise, films institutionnels (jusqu’au niveau des communes) ou films sortis des réseaux de distribution, ils se situent en dehors des circuits télévisuels ou commerciaux actuels. Leur diffusion tranche avec l’exploitation en salles commerciales : on convoque les spectateurs sélectionnés comme groupe d’étude ou de diffusion à des séances non payantes, et il y a démonstration par des conférenciers. La multiplicité des films sur un même sujet, parfois produits par les mêmes instances (y compris privées), réduit l’usage à quelques occasions et gisent ensuite dans une armoire, parfois dans la mémoire de certains producteurs ou spectateurs.

Nous sommes en train d’élaborer une stratégie d’analyse historique croisée entre histoire, histoire des sciences et des techniques et études cinématographiques, dans le cadre d’une histoire croisée franco-allemande, afin de renouveler la méthodologie des études historiques audio-visuelles. « Projections dans le Rhin supérieur » insiste aussi sur la mise en regard systématique de sources diverses – documents papier imprimés ou non, iconographiques ou cinématographiques– et de films de tous types, analysés de façon simultanée. Le cadre chronologique englobant trois décennies d’après-guerre, le recours au témoignage oral devient possible et même nécessaire.

Nous enquêtons donc sur les processus de production mais toujours en référence à l’horizon de la diffusion (réseaux) et de la réception. Ainsi est en train de s’élaborer une nouvelle méthodologie qui permettra de progresser vers la résolution de l’épineuse question documentaire. Les objets quotidiens que nous voyons aujourd’hui à l’écran seront remis dans le contexte de la diffusion de leur représentation pour se voir restituer leur sens et pour favoriser le regard rétrospectif sur un siècle d’histoire transnationale.

Une archéologie du film « utilitaire » dans le Rhin supérieur

« Projections dans le Rhin supérieur » déplace doublement la focale usuelle des études historiques – vers les images animées – et cinématographiques – vers la non-fiction sous toutes ses formes. Nous travaillons quatre catégories de films– amateurs, industriels, pédagogiques et télévisuels – où l’image participe de l’établissement des « faits » – qu’ils soient d’ordre social, technique ou scientifique. Ces images sont appelées à remplir des fonctions didactiques et mémorielles. Elles représentent à la fois une forme de communication et une forme de médiation entre différentes communautés (sociales, professionnelles, religieuses) et entre générations. Nous envisageons d’autre part l’histoire de ces films comme une archéologie des regards filmiques de 1900 à 1970 : elle se centre non seulement sur les films en tant que tels, mais sur leur histoire, de la production aux projections. Nous ne considérons plus le film simplement comme une unité d’analyse, mais comme l’outil au cœur d’un dispositif de visionnage dont les circonstances sont à la fois multiples et plus complexes. Le cadre de notre étude, le Rhin supérieur, s’applique tant aux détenteurs d’images qu’à la projection de films ou encore aux tournages.

Le cœur de notre projet consiste à identifier, collecter et sauvegarder en format numérique des films dits « éphémères », dont l’usage s’est perdu et la conservation reste fortement aléatoire. L’ensemble des enseignants-chercheurs et de nos partenaires dans les institutions détentrices d’archives mène l’enquête dans le Rhin supérieur et au-delà – par exemple, en France, à Nancy (Centre Régional Image), Toulouse (Cinémathèque) ou Paris : Archives françaises du Film, Cinémathèque Robert Lynen. Ce repérage forcément laborieux occasionne des redécouvertes, notamment chez les détenteurs privés (entreprises ou particuliers). La collecte se concrétise sous forme d’inventaires raisonnés mis à dispositions des détenteurs, puis d’une sélection en fonction des intérêts de conservation et des objectifs scientifiques (thématiques). Une partie des fonds Objectif Sciences est ainsi consacrée à la numérisation de sources inédites pour faciliter l’étude et la diffusion publique lors des cycles de projection et des manifestations scientifiques. Elle est opérée sur la base de partenariats qui respectent les ayant-droits, et qui sont aussi destinés à assister nos interlocuteurs dans la démarche de sauvegarde sur support numérique.

Nous collaborons avec un réseau dense de centres de conservation de niveau national. Les Archives françaises du Film/CNC et le Bundesarchiv sont détenteurs d’archives (film et papier) et disposent de banques de données qui permettent leur identification. La fondation Friedrich-Wilhelm Murnau a quant à elle été désignée en 1966 héritière de l’industrie du film allemande étatisée sous le régime national-socialiste. Ses collections incluent plus de 3000 films utilitaires pour la période entre 1896 et 1945 ainsi que de nombreux dépôts par des particuliers qui excèdent aujourd’hui 20000 films. La participation de l’INA (via sa délégation Est à Strasbourg) offre la possibilité d’accéder aux films télévisuels de la période précoce de la télévision française entre 1950 et 1970. Ces productions peuvent être comparées aux productions allemandes de la même période, détenues par les archives du Zweiten Deutschen Fernsehns (ZDF).

Notre travail s’appuie aussi sur la richesse des collections des archives régionales. En Allemagne, la Maison du film documentaire à Stuttgart (Haus des Dokumentarfilms) est associée comme institution partenaire fournissant une expertise spécifique pour le film de non-fiction, ressource archivistique et base de repérage pour le pays de Bade-Wurtemberg et plus largement le Sud-ouest de l’Allemagne. Elle abrite par ailleurs la Landesfilmsammlung, qui depuis plus de dix ans collecte et sauvegarde le film utilitaire et amateur du Bade-Wurtemberg. Cette collection offre la possibilité d’écrire une histoire croisée avec l’association Mémoire des Images Réanimées d’Alsace (MIRA), qui a lancé en 2009 un projet de sauvegarde des films amateurs concernant la région Alsace. MIRA se donne pour objectif d’inventorier ces films inédits selon des normes rigoureuses, d’en établir un inventaire numérisé en collaboration avec les cinémathèques qui ont mis au point des bases de données adaptées et de créer un portail sur Internet. MIRA promeut la conservation des originaux par dépôt aux Archives ainsi que la conservation des copies numérisées dans une structure plus adaptée, pour les besoins de la recherche ou pour leur intérêt historique.

La richesse des fonds de films alsaciens correspond à une histoire ancienne dans cette région, qui concentre une forte population, dans un tissu serré de cités et de villages où se développent d’importantes activités économiques. Il ne fait pas de doute que de nombreuses entreprises ont, à un moment donné de leur histoire récente, produit ou fait réaliser des films pour leur usage interne ou pour promouvoir leurs produits. Or fort peu d’images sont aujourd’hui accessibles aux chercheurs, aux acteurs, au public. Il a par exemple fallu que les Potasses d’Alsace cessent l’exploitation pour que l’on décide de valoriser un fonds quasiment oublié grâce à l’édition d’un coffret DVD (2004). Ces quelques films passionnants ne représentent qu’un mince aperçu de l’intense production de deux sociétés : les Mines de Potasse d’Alsace (MDPA) et la Société commerciale des Potasses d’Alsace (SCPA). Si la première a essentiellement documenté les procédés d’exploitation par l’intermédiaire de films techniques à usage interne, la seconde a au contraire diffusé ses images promotionnelles dans le monde entier, comme l’attestent les versions en langues étrangères conservées aujourd’hui aux Archives départementales du Haut-Rhin (AD 68) avec quelque 300 autres références. Films d’animation, bobines consacrées à des fêtes, journal d’actualités (Cigogne magazine) et films éducatifs faisaient connaître les « bienfaits » de la potasse utilisée dans l’agriculture comme engrais ou comme fongicide.

Deux fonds cohabitent aux AD 68 : celui déposé par les Mines, en partie numérisé (Beta-Cam) en vue de l’édition du DVD, et celui déposé par la Maison du Mineur, probablement héritier d’une partie du fonds de la SCPA. On recense également des coproductions conservées à la cinémathèque du Ministère de l’Agriculture : certains films ayant bénéficié de la précieuse politique de numérisation de l’INA sont accessibles sur son site Internet. Le format de la plupart des bobines est le 16 mm, associant qualité de l’image et légèreté de l’appareillage ; d’autres films sont supportés sur des bobines de 8mm, et quelques-unes seulement en 35 mm (celui des salles de cinéma). Ces formats sont très révélateurs des processus de production à coût mesuré, et des usages itinérants. Durant l’entre-deux-guerres, la SCPA a déployé dans les campagnes des camions-expositions dotés d’écrans de projection. Ils apparaissent sur des photographies et dans certains films (Le vignoble français, 1930), mais nous ne savons pas comment s’organisaient les séances ni ce qui en résultait, sur le moment ou plus tard.

Nous ne disposons actuellement que des titres des films conservés aux archives : il faut donc visionner l’ensemble du fonds afin de le décrire et de le classer par mots-clefs. Une étudiante en Master 1 de la Faculté des Sciences Historiques, Larissa Dauve-Flor, s’est attelée en 2012 à cette tâche immense et a tenté de localiser la documentation papier correspondante, qui permettrait de réinscrire la place du médium filmique dans la promotion d’ensemble opérée par la SCPA – également éditrice de brochures, revues, affiches, cartes postales, panneaux et colifichets en tous genre. Alors que les documents de la SCPA étaient censés échoir aux AD 68, ils se retrouvent déposés aux archives municipales de Mulhouse, mais non classés – ce qui entrave pour l’instant notre analyse de la diffusion et de la réception de ces films réalisés entre 1927 et les années 1980. On peut d’ores et déjà émettre l’hypothèse que pour une entreprise de cette taille (celle de Bayer ou de Philips), développant dans l’entre-deux-guerres une clientèle à l’international, la production de films insistant sur le changement des habitudes et invitant à participer au progrès et à en bénéficier constituait non seulement un outil promotionnel puissant, mais aussi une marque de standing.

Le public acteur de la recherche

Les films ont été produits ou montrés dans l’environnement quotidien du Rhin supérieur, et la distance temporelle de leur production, entre 40 et 110 ans, ouvre un espace pour la réflexion. L’organisation de manifestations publiques permet de mobiliser un jeu de regards croisés entre proximité géographique et distance historique pour stimuler un débat public à des niveaux multiples. Ces débats concernent autant une conscience historique propre à chaque espace national, une confrontation critique avec celle-ci, qu’une interrogation sur une identité européenne interrégionale.

La publicité de nos travaux et de leurs résultats passe classiquement par la tenue de journées d’études thématiques et d’une conférence internationale conclusive (2015). Conçues comme autant d’étapes dans l’approfondissement collectif des méthodologies pour concevoir une histoire du film éphémère, leur principe est le regroupement thématique. Le visionnage des sources filmiques se situe au cœur de ces manifestations. Les institutions d’archives et de sauvegarde du film, ainsi que les détenteurs, sont invités à ces évènements scientifiques valorisant leur patrimoine, et amenés à intervenir sur les pratiques de conservation, de collecte ou en tant que témoins acteurs. Nous souhaitons mettre en place une collaboration durable dans le domaine de la collecte, de la production et de la diffusion d’images audio-visuelles. Il s’agit aussi de faire connaître les fonds audio-visuels du Rhin Supérieur et de favoriser leur usage par les chercheurs en histoire et en études filmiques, les enseignants et les étudiants. Le séminaire de Master commun entre les deux facultés strasbourgeoises (à partir de la rentrée 2013) doit servir de lieu de discussion méthodologique et de développement des études de cas.

Les programmes scientifiques négligent parfois la dimension essentielle que représente la communication en direction de divers types de publics hors communauté scientifique. Une partie cruciale de notre projet consiste à mettre en place des cycles de projections suivies de débats à Strasbourg et Heidelberg, dans des lieux ouverts à tout public, situés en ville et non à l’université. Les spectateurs non spécialistes des deux régions auront ainsi la chance de (re)découvrir des images perdues de vue. Ils ont aussi un rôle particulier à jouer dans l’identification de lieux et de personnes, la mémoire des usages d’objets et des films en tant que tels, ainsi que la découverte de nouvelles sources cinématographiques. Nous nous adressons donc à la population dans son ensemble afin d’ouvrir un espace de réflexion historique au sujet de la région métropolitaine tri-nationale du Rhin supérieur, à partir de films utilitaires.

Pour aller à la rencontre de ce public et faire que les spectateurs rencontrent les films, nous avons déterminé trois thématiques d’histoire sociale et culturelle pour trois cycles de projections-débats : la vigne et la viticulture (2013), la propagande politique (2014), et la santé et ses produits (2015). Ces projections gratuites se tiennent en Alsace et au Bade-Wurtemberg de manière non simultanée. Le premier cycle, « L’or du Rhin », s’est déroulé à Strasbourg les 25 mars (cinéma L’Odyssée), 27 mars (Hôpital civil) et 8 avril (cinéma L’Odyssée). Les films sur le vin et la viticulture d’origine française (2/3) et allemande (1/3) ont été répartis en trois périodes chronologiques cohérentes du point de vue des problématiques abordées et des moyens cinématographiques engagés : début de siècle (époque « muette »), années 1930-1950 (éducation et promotion) et années 1950-1970 (reportage et questionnements).

Les projections ont été précédées d’une introduction détaillant le projet et le programme du jour, puis suivies d’une discussion autour des images avec un public de non-professionnels de l’histoire ou du cinéma, et de quelques représentants des métiers de la vigne. M. André Hugel, viticulteur à Riquewihr, a ainsi autorisé la projection de films de famille des années 1920, 1930 et 1940, qu’il a commentés en voix off, puis dans la salle. Les techniques et outils employés, les arguments utilisés dans les films promotionnels, le caractère hybride de certaines productions mêlant trame fictionnelle et propos didactique, la qualité des images ont fait l’objet d’échanges féconds. Un premier lien s’est ainsi établi entre acteurs locaux et équipe scientifique, et entre eux et un public tout simplement curieux. Il devrait se développer en direction du milieu de la viticulture suite à la sollicitation par le Conseil interprofessionnel des Vins d’Alsace.

La mise en œuvre d’une telle programmation nécessite donc une quête assidue d’images, des négociations avec de multiples partenaires (heureusement pour la plupart très favorables à notre démarche) et une organisation minutieuse des soirées de projection. Il s’agit désormais de développer les relations nouées autour des premières d’entre elles, et de mieux structurer les terrains de réception des films en vue du prochain cycle. Cela dépendra, de notre capacité à solliciter des témoignages d’acteurs (producteurs d’images et destinataires) et à les confronter aux images, d’une part ; d’autre part, de notre réflexion sur la gestion des espaces-temps de projection et de débat, en particulier sur notre position par rapport au public entre transmission du savoir et écoute.

Rh(e)inFilm – Projections dans le Rhin supérieur

Interreg IV

Offensive Sciences Projet n° A25

Citer cet article

Référence papier

Christian Bonah et Alexandre Sumpf, « Rh(e)inFilm – Projections dans le Rhin supérieur », Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, 2 | 2013, 177-183.

Référence électronique

Christian Bonah et Alexandre Sumpf, « Rh(e)inFilm – Projections dans le Rhin supérieur », Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe [En ligne], 2 | 2013, mis en ligne le 20 octobre 2022, consulté le 28 mars 2024. URL : https://www.ouvroir.fr/sources/index.php?id=448

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Christian Bonah

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